**Bande-annonce :**

*”Un voyage à travers les continents devient un chemin vers la découverte de soi dans cette histoire profondément personnelle d’amour, de perte et de résilience. Des falaises ensoleillées de la Grèce aux rues animées du Maroc, une femme affronte le chagrin de l’infertilité tout en cherchant l’espoir là où elle ne l’attendait pas. Après des années de traitements de FIV épuisants et de questions sans réponse, un voyage spontané mène à un miracle éphémère — et à un douloureux rappel de ce qui aurait pu être. Mais au cœur de la souffrance, elle trouve une clarté : parfois, lâcher prise est le choix le plus courageux. C’est une histoire d’abandon, de force et des bénédictions cachées dans les moments les plus difficiles de la vie.”*

**Résumé reformulé :**

Cette histoire commence au Maroc fin septembre 2024, où l’autrice et son mari, Rahul, sont en congé sabbatique de sept semaines à travers la Grèce, le Maroc et l’Inde. Alors qu’ils conduisent d’Essaouira à Marrakech, elle fait une fausse couche précoce — la dernière en date dans son long combat contre l’infertilité. Depuis trois ans et demi, elle et Rahul ont enduré plusieurs cycles de FIV, d’inséminations et de chirurgies, tous infructueux en raison de ses problèmes de fertilité complexes : réserve ovarienne faible, endométriose et une réponse immunitaire rejetant les embryons.

Bien que la gestation pour autrui (GPA) semblait être l’étape logique, elle luttait contre un sentiment d’échec — comme si elle n’avait pas tout tenté pour concevoir naturellement. Mais ce voyage, surtout la fausse couche au Maroc, l’a aidée à accepter que la GPA n’était pas une renonciation, mais un autre chemin vers la maternité.

Le périple a commencé en Grèce, où le couple s’est émerveillé devant la beauté du pays, de Paxos aux îles des Cyclades. Entre balades en bateau, vin et journées paresseuses sur la plage, elle a conçu naturellement pour la première fois — pour perdre la grossesse peu après. Pourtant, dans cette perte, elle a trouvé la paix avec leur décision de recourir à la GPA, réalisant que la maternité ne se définit pas par la biologie, mais par l’amour et la persévérance.

**Bande-annonce :**

Imaginez-vous déambuler dans un village grec baigné de soleil, quand une inconnue vous arrête pour vous dire qu’elle a senti une énergie inexplicable autour de vous — pour découvrir plus tard les premiers signes d’une grossesse. Pendant des années, on vous a répété de « simplement vous détendre », que la maternité viendrait quand vous ne l’attendriez plus. Et puis, contre toute attente, c’est le cas — jusqu’à ce que tout s’échappe.

Des falaises de Sifnos aux arganiers du Maroc, le destin envoie des signes — un chevreau placé dans vos bras au moment même où vous affrontez une perte, un murmure d’espoir dans les instants les plus inattendus. Le parcours de l’infertilité est jonché de chagrin, de doute et de l’ironie cruelle d’un conseil qui finit par marcher — pour échouer encore. Mais parfois, l’univers a d’autres projets.

C’est une histoire d’abandon, de lâcher-prise, et de clarté trouvée dans les moments les plus douloureux. Car parfois, la réponse n’est pas de forcer la nature — mais de faire confiance au chemin qu’elle trace devant nous.

**Résumé reformulé :**

Alors qu’elle explorait une île grecque, une inconnue a abordé l’autrice, affirmant avoir perçu une aura particulière autour d’elle et lui offrant des photos spontanées. Plus tard, l’autrice a découvert les premiers signes d’une grossesse — pour faire une fausse couche peu après. Des années d’infertilité avaient été accueillies par des conseils frustrants (« Détendez-vous ! Partez en vacances ! »), et ironiquement, suivre ces conseils avait mené à une brève grossesse — mais sans lendemain.

Au Maroc, une femme locale a placé un chevreau dans ses bras — une métaphore poignante au moment même où ils digéraient leur perte. Cet instant a scellé leur décision de recourir à la GPA, malgré leurs réticences passées. L’expérience a confirmé que l’infertilité n’était pas un échec personnel, mais une réalité médicale hors de leur contrôle. L’histoire reflète les tourments émotionnels de l’infertilité, les cruels revirements de l’espoir et les moments inattendus qui apportent la clarté.

**Bande-annonce :**

Imaginez un voyage rempli d’espoir, de signes du destin et du rêve de devenir parent — pour affronter la dure réalité que la biologie en a décidé autrement. Un congé sabbatique, du vin sous le soleil, même des bénédictions spirituelles : rien n’a pu changer la vérité. L’infertilité ne cède pas aux souhaits. Désormais, la voie est celle de la GPA — un chemin long et incertain, jonché de choix que personne ne pense devoir faire. Pourtant, à travers les chagrins et les questionnements, une prise de conscience s’impose : peut-être que le ventre rond n’a pas besoin d’être le vôtre pour que l’amour soit réel. C’est une histoire de résilience, de rebondissements inattendus et de la conviction inébranlable qu’une famille va au-delà de la biologie.

**Résumé reformulé :**

Peu importe à quel point les circonstances semblaient parfaites — voyages, détente, même des signes spirituels —, concevoir naturellement n’a pas fonctionné, confirmant que l’infertilité est une réalité biologique, pas juste liée au stress. La GPA est désormais l’étape suivante, un processus long sans garanties. Le parcours a déjà impliqué des choix inattendus, comme envisager un don d’ovocytes, et même si c’est difficile à accepter, ceux qui l’ont vécu affirment que l’amour pour un enfant transcende son arrivée dans votre vie. Les voyages ont apporté une perspective : le ventre rond ne sera peut-être pas le mien, mais cela ne rendra pas ma future famille moins réelle. L’infertilité est un chemin chaotique, mais l’acceptation commence doucement à s’installer.