**Bande-annonce :**
Qu’est-ce qu’il faut pour être « la meilleure petite amie de tous les temps » ? Faites la connaissance de Reality Kahn – une créatrice de zines excentrique et obsédée par l’amour, âgée de 23 ans, et protagoniste inoubliable du roman éblouissant de Sophie Kemp, *Paradise Logic*. Sa quête chaotique d’amour (ou plutôt, de validation) ressemble moins à une comédie romantique qu’à un voyage surréaliste et hilaramment sombre. Kemp, dont la plume est aussi acérée qu’unique, signe une histoire aussi bizarre que brillante.

Dans une interview récente pour *Vogue*, Kemp se confie sur tout : des steaks engloutis pendant sa semaine de lancement à la couverture follement inspirée par l’anime. Comment a-t-elle trouvé le nom « Reality Kahn » ? Blâmez un podcast et un chat. Quel conseil donnerait-elle à Reality si elle était sa thérapeute ? « Tu n’es pas qu’une petite amie – tu es une artiste. »

*Paradise Logic* est un rêve fiévreux mêlant amour, découverte de soi et absurdité – parfait pour ceux qui se sont déjà demandé : *Mais qu’est-ce que je viens de lire ?* (Dans le meilleur sens du terme.)

**Synthèse reformulée :**
Le premier roman de Sophie Kemp, *Paradise Logic*, suit Reality Kahn, une créatrice de zines de 23 ans dont la recherche désespérée d’amour prend des tournures étranges et comiquement noires. Kemp, connue pour son style tranchant, mêle surréalisme et humour dans cette histoire hors norme.

Dans son interview pour *Vogue*, Kemp partage des détails insolites sur son lancement – comme avoir mangé trois steaks en une semaine ou porté des boucles d’oreilles qui verdissent ses lobes. Elle révèle que le nom de son héroïne, Reality Kahn, lui a été inspiré par un podcast et son héritage juif. La couverture animée, influencée par les magazines informatiques des années 90, épouse parfaitement le ton décalé du livre.

Kemp souligne aussi un thème plus profond : le parcours de Reality ne se résume pas à l’amour – c’est une prise de conscience artistique. *Paradise Logic* explore avec audace et esprit la quête d’identité, laissant le lecteur à la fois médusé et ravi.

**Bande-annonce :**
Rencontrer l’âme sœur à Brooklyn ? Compliqué. Tomber amoureux à Paris ? Magique. Mais peu importe où l’on se trouve, trouver le bon partenaire n’est jamais simple – demandez à cette autrice, qui a vécu les deux. Et pour décrire son écriture audacieuse et anticonformiste ? Oubliez « excentrique » – elle préfère largement qu’on la qualifie de « dérangée ». Plongez dans une conversation sur l’amour, le langage et le chaos créatif derrière son dernier ouvrage.

**Synthèse reformulée :**
L’autrice évoque les difficultés des rencontres à Brooklyn, loin d’être idéales, bien qu’elle ait connu l’amour à Paris. Si la romance est un défi partout, elle en est la preuve vivante – même à New York. L’échange bascule sur son livre, qu’elle décrit comme original et intimement inspiré par des maîtres comme Barthelme et Nabokov. Elle rejette le terme « excentrique », qu’elle juge sexiste, lui préférant « dérangé » pour sa neutralité. Entre esprit, critique et assurance, l’échange est aussi vif que révélateur.

*(Note : Les mentions de *Paradise Logic* et le prix sont conservées comme éléments factuels.)*