**Bande-annonce :**

*Plongez dans les couloirs chaotiques du Congrès, où luttes de pouvoir, scandales et pitreries se déroulent au quotidien. Dans *Mad House*, les journalistes du *New York Times* Annie Karni et Luke Broadwater lèvent le voile sur la dysfonction épique de la direction républicaine à l’ère Trump, révélant les batailles choquantes, souvent absurdes, qui ont paralysé le gouvernement américain. Des querelles de Marjorie Taylor Greene à la quête désespérée de pouvoir de Kevin McCarthy, ce livre explosif dévoile les histoires inédites derrière les gros titres. Avec un accès sans précédent et un reportage tranchant, Karni et Broadwater montrent comment des extrémistes pro-MAGA ont transformé le Congrès en cirque—et pourquoi les dégâts pourraient être irréversibles. Attachez vos ceintures pour un voyage au cœur de la folie qui a brisé la politique américaine.*

**Résumé reformulé :**

Couvoir la politique pour *The New York Times* n’est pas une mince affaire, surtout lorsqu’il s’agit de suivre le chaos incessant de la Chambre républicaine sous Trump. La journaliste Annie Karni, qui contribue également à MSNBC, a transformé son expérience directe en *Mad House*, un livre captivant coécrit avec le correspondant parlementaire Luke Broadwater. L’ouvrage explore la « dysfonction épique » du Congrès sous la direction MAGA, marquée par des luttes intestines, des scandales et une paralysie législative.

Dans un entretien avec *Vogue*, Karni a expliqué leur méthode : revenir sur les grands moments politiques—comme la bataille épuisante de Kevin McCarthy pour le poste de speaker ou les quasi-fermetures du gouvernement—des semaines plus tard pour en révéler les détails inédits. Les politiciens, a-t-elle constaté, étaient plus francs lorsqu’ils s’exprimaient pour un livre que pour les actualités quotidiennes.

Le livre montre comment le 118ᵉ Congrès a atteint des niveaux inédits de dysfonction, les Républicains étant plus concentrés sur leurs querelles internes que sur la gouvernance. Karni analyse aussi des figures comme la représentante Nancy Mace, dont le récent virage extrémiste reflète la radicalisation du GOP. *Mad House* est une lecture incontournable pour comprendre comment la politique américaine a sombré dans le chaos—et qui en est responsable.*

**Résumé avec bande-annonce :**

Nancy Mace, autrefois perçue comme une Républicaine modérée ayant critiqué Trump après le 6 janvier, a pleinement embrassé l’extrémisme MAGA pour servir ses ambitions politiques. Elle a admis ouvertement que s’opposer à Trump bloquerait sa carrière—une révélation qui illustre la réalité actuelle du GOP. Désormais, elle pousse des positions ultra-conservatrices encore plus loin que Trump lui-même, prenant pour cible des figures comme la congresswoman transgenre Sarah McBride. Parallèlement, des personnalités comme Marjorie Taylor Greene ont appris à manipuler l’attention médiatique, distillant des informations aux journalistes pour influencer les récits.

**Bande-annonce (Accroche percutante) :**
*”Que se passe-t-il quand l’ambition écrase les principes ? La transformation politique de Nancy Mace révèle les calculs impitoyables du pouvoir au sein du GOP actuel—où la loyauté envers Trump n’est plus une option, mais la seule voie possible. Mais elle n’est pas seule. Entre les jeux médiatiques de Marjorie Taylor Greene et les talons hauts de Nancy Pelosi, les règles non-dites de la survie politique n’ont jamais été aussi bruyantes. Plongez dans l’univers impitoyable de Washington, où chaque geste, chaque citation, et même chaque choix de chaussures est une manœuvre calculée pour dominer.”*

**Points clés :**
– Mace est passée de modérée à extrémiste MAGA pour gravir les échelons du GOP.
– Les Républicains recherchent la couverture médiatique tout en la critiquant.
– Les conflits internes du GOP offrent des opportunités pour le journalisme d’investigation.
– Le style de Pelosi (comme ses talons iconiques) est un signal délibéré de pouvoir.

**Bande-annonce :**

Quand Nancy Pelosi est revenue au Congrès après sa convalescence, tous ont été choqués—non pas par ses manœuvres politiques, mais par ses chaussures. Finis les talons signature, remplacés d’abord par des sabots Merrill, puis par des sneakers stylées Chloé. Derrière sa garde-robe ? Son mari, Paul Pelosi, qui choisit ses costumes sur mesure (et probablement ces baskets aussi). Mais ce n’est pas qu’une question de mode—c’est un message. Contrairement à des élus masculins comme Mitch McConnell, qui refusent les cannes pour ne pas paraître faibles, Pelosi adopte le pragmatisme sans perdre son autorité. Déambulateur, ballerines ou baskets—elle reste Pelosi, prouvant que la force ne réside pas dans les chaussures, mais dans la démarche.

**Résumé :**
Le texte évoque le changement de style de Nancy Pelosi à son retour au Congrès, troquant ses talons habituels pour des sabots Merrill puis des sneakers Chloé—probablement choisis par son mari, Paul Pelosi, qui gère sa garde-robe. Contrairement à des homologues masculins comme Mitch McConnell, qui rejettent les aides à la mobilité pour éviter de sembler fragiles, Pelosi s’adapte sans complexe, utilisant un déambulateur et des chaussures confortables tout en conservant son autorité. Ses choix reflètent une assurance qui contraste avec la vanité d’autres élus vieillissants. L’article souligne que le pouvoir ne tient pas aux apparences, mais à la résilience.

*(Extrait de *Mad House*, un livre décryptant la dysfonction du Congrès sous la politique trumpienne.)*