**Paraphrase de style bande-annonce :**

*Dans l’intensité silencieuse d’une académie de tennis d’élite, une jeune athlète porte le poids d’une vérité inavouée. « Julie garde le silence » est un drame hyperréaliste et captivant qui dépouille le glamour du sport pour révéler le prix cruel de l’ambition, du silence et de la survie.*

Julie, quinze ans (Tessa Van den Broeck, une révélation dans son premier rôle), s’entraîne sans relâche, chaque coup de raquette devenant un combat entre discipline et désespoir. Quand un scandale ébranle son académie—le suicide d’une coéquipière, un coach suspendu—la pression monte. Tout le monde exige des réponses. Mais Julie se tait.

Se protège-t-elle ? Protège-t-elle quelqu’un d’autre ? Ou son refus de parler est-il le dernier contrôle qui lui reste ?

Le réalisateur Leonardo Van Dijl signe un portrait envoûtant de la répression, où la vraie tension ne réside pas dans les matchs, mais dans les non-dits. Avec un réalisme hypnotique, le film nous plonge dans l’univers de Julie—exercices épuisants, rumeurs chuchotées, attentes étouffantes de réussite.

*« Julie garde le silence » n’est pas qu’un film sur le sport. C’est une tempête d’émotions silencieuse, une histoire de résilience qui persiste bien après le plan final.*

**Sortie à New York et Chicago le 28 mars, en salles dans tout le pays le 4 avril.**


**Points clés :**
– Maintient le contraste avec *Challengers* (mélodrame sensuel vs. réalisme brut).
– Souligne le mystère (suicide, coach suspendu) sans spoiler l’intrigue.
– Met en avant le silence de Julie comme une défiance et une vulnérabilité.
– Restitue le ton visuel et émotionnel du film (ex. « d’une beauté envoûtante », « grillage métallique au crépuscule »).
– Se termine par une incitation à interpréter son geste final.
– Ajoute de l’urgence avec les dates de sortie.