**Bande-annonce : Le poids politique des noms de famille — Pourquoi j’ai donné le mien à ma fille**

Les noms de famille ne sont pas de simples identifiants — ce sont des déclarations politiques. Qu’il s’agisse de célébrités rejetant leur nom de naissance ou de politiciens adoucissant le leur pour plaire au plus grand nombre, le choix d’un patronyme est rarement anodin. Même l’adoption de « Sussex » par Meghan Markle fait débat : pourquoi les femmes devraient-elles encore porter le nom d’un homme ?

Pour l’autrice Frizzell, la tradition des noms patriarcaux a toujours semblé absurde. Alors, lorsqu’elle a eu une fille, elle a brisé le moule : sa petite porte *son* nom de famille, pas celui de son père. Une minuscule révolte contre un système qui efface l’identité des femmes — au point que son jeune fils l’a approuvée avec une logique imparable : *« Les filles, ce sont des Frizzell. »*

Mais défier la tradition s’accompagne de son lot de complications — des batailles administratives sans fin pour prouver que l’on est bien le parent de son enfant. Voici donc sa proposition radicale : oubliez les traits d’union chaotiques, que les filles héritent du nom de leur mère, les fils de celui de leur père, et que les parents homosexuels ou solo choisissent ce qui leur convient le mieux. Car dans un monde où le nom est synonyme de pouvoir, pourquoi les femmes ne réclameraient-elles pas le leur ?

*(Note : Adaptations mineures pour respecter le style et les nuances, comme “autrice” pour souligner le féminin, et l’ajout de “minuscule révolte” pour conserver le ton percutant.)*