**Bande-annonce :**
Plongez dans le monde vibrant et pourtant poignant de *Nova Scotia House*, le premier roman de Charlie Porter, qui capture l’essence de la vie queer pendant la crise du sida dans le Londres des années 1990. Ce récit émouvant tisse ensemble amour, perte et résilience, retraçant le parcours émotionnel de Johnny, un jeune homme qui tombe amoureux de Jerry, un activiste plus âgé et séropositif. Leur histoire d’amour est un témoignage du courage et de la créativité d’une génération confrontée à l’ombre de la mort, tout en rêvant d’un avenir rempli d’espoir et de radicalité queer. À travers une prose tendre et une narration vivante, Porter invite les lecteurs à renouer avec l’esprit contre-culturel du passé et à imaginer une vie vécue pleinement, avec optimisme et sans excuses, en tant que personne queer.

**Résumé paraphrasé :**
Le premier roman de Charlie Porter, *Nova Scotia House*, se déroule dans le Londres des années 1990, au plus fort de la crise du sida. L’histoire suit Johnny, un jeune homme de 19 ans, qui tombe amoureux de Jerry, un homme de 45 ans séropositif. Leur relation est profondément enracinée dans l’activisme queer des années 1970, qui a façonné l’identité de Jerry, et est marquée à la fois par la passion et la réalité imminente de la maladie de Jerry. Le roman explore des thèmes tels que l’amour, le deuil et la résilience, alors que Johnny navigue dans sa douleur et cherche à construire un avenir plein d’espoir après la mort de Jerry en 1995.

Porter, écrivain de mode et auteur d’ouvrages non fictionnels comme *What Artists Wear* et *Bring No Clothes*, puise dans sa fascination pour la génération perdue de créatifs décédés pendant la crise du sida. Il réfléchit au manque de sources primaires de cette époque et utilise la fiction pour réimaginer les vies et les possibilités de ceux qui ont été perdus. Le roman invite les lecteurs à réfléchir à la manière de renouer avec une radicalité queer et de vivre pleinement et avec optimisme.

Dans une interview, Porter discute des différences entre ses processus d’écriture non fictionnels et fictionnels. Alors que ses œuvres non fictionnelles sont basées sur des recherches approfondies et rédigées sur ordinateur, sa fiction est écrite à la main en lettres majuscules, lui permettant de s’immerger dans le récit et de laisser les personnages évoluer organiquement. Pour *Nova Scotia House*, Porter a abordé le développement des personnages comme une simulation, créant un monde et observant comment les personnages interagissent en son sein. Le résultat est une exploration profondément émotionnelle et stimulante de la vie, de l’amour et de l’héritage queer.

**Bande-annonce :**
Plongez dans un monde où le passé et le présent se heurtent, où les échos des vies perdues à cause de la crise du sida reprennent vie grâce au pouvoir de la narration. Ce n’est pas seulement un livre, c’est un voyage au cœur de la contre-culture queer, une réimagination des vies que l’histoire a souvent négligées. À travers des lettres intimes, des journaux et les fils vivants de la mémoire, l’auteur tisse une tapisserie de résilience, d’amour et de défi. Au cœur de cette histoire se trouve le *AIDS Memorial Quilt*, un symbole poignant de perte et de souvenir, offrant une épiphanie visuelle qui transforme le récit. C’est une histoire sur la réappropriation des voix, sur la découverte de la beauté dans les fragments de vies oubliées, et sur le pouvoir durable de l’art pour guérir et inspirer. Préparez-vous à être ému, remis en question et changé à jamais.

**Résumé paraphrasé :**
Le texte explore l’approche de l’auteur en matière d’écriture, soulignant l’importance de créer un récit vivant et respirant plutôt que de s’appuyer sur des storyboards rigides. L’auteur évite les intrigues prédestinées, permettant aux personnages d’évoluer organiquement, reflétant ainsi l’imprévisibilité de la vie. La discussion se tourne vers la crise du sida, l’auteur réfléchissant à la manière dont il a délibérément évité de consommer des médias liés à ce sujet pendant le processus d’écriture pour préserver l’intégrité de sa propre histoire. Il a ensuite regardé *It’s a Sin* et en a été profondément touché, mais seulement après avoir terminé son travail.

Le livre de l’auteur vise à documenter les vies queer et contre-culturelles largement effacées de l’histoire. En utilisant la fiction, il comble les lacunes laissées par le manque de sources primaires, créant des récits intimes qui reconnectent les lecteurs avec des modes de vie expérimentaux d’avant la crise du sida. Le livre intègre également des éléments réels, comme le *AIDS Memorial Quilt*, qui sert d’ancrage visuel et émotionnel puissant. La courtepointe, symbole de souvenir et d’activisme, joue un rôle crucial dans l’histoire, offrant de nouvelles perspectives sur la vie et la perte.

À travers cette œuvre, l’auteur cherche à honorer les vies perdues à cause du sida, défiant le ton élégiaque souvent associé à de tels récits. Au lieu de cela, il célèbre la vitalité et la résilience des communautés queer, utilisant le langage et l’art pour créer un hommage durable à une génération dont les histoires pourraient autrement être oubliées.

**Bande-annonce : Un voyage à travers la mémoire, la perte et l’identité queer**

Dans une exploration poignante de la mémoire, de la perte et de l’identité queer, ce récit tisse ensemble des histoires personnelles et collectives. L’histoire commence par une réflexion sur la crise du sida des années 1990, une époque où d’innombrables vies ont été perdues, laissant derrière elles des fragments de lettres et d’éphémères comme seuls points de contact avec ceux qui sont partis. Ces petites mais profondes connexions avec le passé servent de rappel à la résilience et à l’amour qui perdurent même face à un chagrin inimaginable.

Le récit se déplace ensuite vers le propre voyage de l’auteur, arrivant à Londres au début des années 90, une période de transformation personnelle et culturelle. À travers le prisme de personnages fictifs, l’histoire explore des thèmes tels que l’intelligence émotionnelle, le désir et la lutte pour trouver sa voix dans un monde qui réduit souvent au silence les expériences queer. La représentation crue et sans concession du sexe comme une connexion humaine—plutôt que comme un tabou ou un secret—défie les normes sociétales et célèbre la beauté de l’intimité queer.

Au cœur de cette histoire se trouve la création de modes de vie et de pensée alternatifs, enracinés dans la communauté et le soin. Du petit jardin d’un appartement social à l’acte de bénévolat, le récit imagine un monde où les vies queer s’épanouissent en défiant les attentes sociétales. C’est un appel à honorer le passé, à pleurer ce qui a été perdu et à envisager un avenir où l’amour et la connexion prospèrent.

C’est une histoire de catharsis, de libération et du pouvoir durable de la mémoire—un témoignage des vies qui nous ont façonnés et des futurs que nous osons rêver.

**Bande-annonce :**

Plongez dans un monde où le temps se plie et s’épanouit, où le passé, le présent et le futur s’entrelacent comme les racines d’un jardin. Ce n’est pas seulement un livre—c’est une invitation à repenser la manière dont nous vivons, grandissons et nous souvenons. À travers la lentille du jardinage, l’auteur explore les rythmes intemporels de la vie, tissant ensemble les philosophies des années 70, la résilience des années 90 et les défis d’aujourd’hui. C’est une histoire qui transcende la nostalgie, célébrant la joie queer et l’esprit de résistance qui perdure.

L’auteur, jardinier et écrivain, établit des parallèles entre le soin des plantes et l’entretien des idées, montrant comment les deux nécessitent patience, attention et le courage de lâcher prise sur ce qui était autrefois. Ce livre est un appel à l’action—un rappel que même si nous ne pouvons pas recréer le passé, nous pouvons repousser, réimaginer et récupérer la sagesse de ceux qui nous ont précédés.

Avec un ton plein d’espoir, le livre nous met au défi de regarder au-delà des clichés et de la législation, nous exhortant à renouer avec des philosophies perdues et des modes de pensée menacés. C’est une célébration de la joie queer qui existe hors du temps, un témoignage du pouvoir de la résilience et un guide pour vivre authentiquement dans un monde en constante évolution.

*Nova Scotia House* est plus qu’un livre—c’est un mouvement. Disponible maintenant au Royaume-Uni, avec une sortie aux États-Unis à venir. Préparez-vous à creuser profondément, à grandir et à vous épanouir.